Publicado: 18 de octobre de 2025 | Actualizado: 26/10/2025 a las 10:18:59 PM
Lors des périodes de performance physique, les neurones travaillent plus rapidement et effectuent des calculs biochimiques dans les cellules et l’atmosphère, nous permettant de parcourir de plus longues distances sans nous épuiser, sans souffrir d’anxiété ni perdre de force ou de performance physique, comme c’est le cas en cyclisme.
Lorsque notre cerveau travaille moins, nous ressentons moins de stress, moins d’anticorps et nous nous reposons davantage. Cependant, cet effet raidit les fibres musculaires et les déplacements plus longs deviennent plus difficiles, sans que les processus biochimiques soient résolus.
Lorsque les neurones fonctionnent à plein régime et que nous rêvons beaucoup, nous devons nous concentrer sur les besoins importants et reprogrammer la satisfaction de la performance physique ou mentale.
Chez les jeunes, les rêves sont plus rapides et le nombre d’anticorps est plus élevé et plus efficace pour les muscles. On pourrait dire qu’à 20 ans, le taux optimal de neurotransmetteurs est atteint, mais une augmentation de ce taux peut entraîner une activité cardiaque incontrôlée, tandis qu’un bon taux peut conduire à des performances physiques optimales, presque imbattables. Cependant, ce taux diminue avec l’âge et les performances physiques déclinent, sous l’effet de nombreux facteurs. La fréquence cardiaque est beaucoup plus stable chez les adultes, mais si un adulte vise une performance optimale et professionnelle, il court le risque d’une condition de performance cardiaque plus élevée. Par exemple, un coureur professionnel expérimenté, en course, a une fréquence cardiaque moyenne de 140 à 150 battements et maximale de 180. Cependant, cette fréquence n’est pas suffisante pour la performance d’un jeune, dont la fréquence cardiaque moyenne est de 180 ou 200 battements. Chez certains coureurs, cette fréquence musculaire sollicite davantage les gaz musculaires que les adultes. Dans ces conditions, il faut résister au stress, au nombre d’anticorps qui crée un stress, et ne pas dépasser la vitesse neuronale ou cardiaque lors d’une performance musculaire fantôme.